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Alinea Univers habitat - Page 9

  • Travaux pratiques maison : comment poser un miroir

     Après avoir appris comment poser un store, voici comment poser un miroir

    Préparation :

    • Le support doit être lisse, propre et sec.

    • La surface arrière du miroir doit être nettoyée au chiffon.

    • Pour un collage parfait, la température de la pièce doit être comprise entre 5 et 20 degrés.

    Application :

    Pour un collage avec du double face spécial miroir :

    • Coupez deux bandes d’adhésif de longueur égale à la largeur du miroir.

    • Disposez-les au dos du miroir (une en haut et une en bas). Vous pouvez augmenter le nombre de bandes en fonction du poids du miroir.

    • Ensuite, enlevez le papier protecteur du double face et posez le miroir sur le mur en pressant fortement pendant 30 secondes.

    Pour un collage à la colle :

    • Utilisez une colle mastic spéciale pour miroir afin qu’elle n’attaque pas le tain. Celle-ci sera appliquée à l’aide d’un pistolet à cartouche colle et mastique.

    • Appliquez la colle sur toute la surface arrière du miroir.

    • Si la surface est poreuse, pressez fortement le miroir sur le support, puis enlevez-le. Attendez ensuite 5 minutes avant de replacer le miroir pour la fixation définitive.

    • Si la surface est non poreuse, placez le miroir en pressant fortement et en étayant le collage pendant le temps de prise (24 à 48 heures selon la taille du miroir).

    Bon à savoir :

    Si le miroir est lourd, étayez-le.

     

  • Assurer le chauffage de sa serre de jardin

    Il est primordial d’assurer une bonne température intérieure dans votre serre de jardin en hiver. En été, une bonne ventilation prendre évidemment le relai. Voici donc un point rapide sur la température idéale à maintenir au plus fort de l’hiver et un aperçu des différents types de chauffage utilisables.

    Quelle température pour quelles plantes ?

     

    Dans une serre de jardin dite froide, la température minimale à maintenir tout au long de l’hiver est d’au moins 5°C. Il faut impérativement lutter contre le gel.
    Dans le cas d’une serre de jardin intermédiaire, la température minimale en hiver se situe aux alentours de 10°C.
    Enfin, dans le cas d’une serre de jardin abritant des plantes tropicales, la température devra être maintenue au-dessus des 15°C.

     

    Différents types de chauffage de serre

    Pour parvenir au maintien de ces températures idéales minimales, il existe trois types de chauffage différents.

     

    Utiliser un radiateur à pétrole

    Le radiateur à pétrole ne convient qu’aux serres de jardin froides de très faible volume (inférieur à 5 m3). Ce type de radiateur ne possède pas de thermostat et sont donc à privilégier qu’en appoint : une trop grande utilisation concentrerait excessivement de gaz toxiques. Compter de 15 à 70 €.

     

    Utiliser un radiateur électrique

    Il convient parfaitement aux serres de jardin de faible superficie. Il existe des radiateurs spécialement conçus pour les serres de jardin à privilégier : radiateur halogène à quartz et radiateur soufflant, suspendus ou non. Compter de 100 à 400 € selon les modèles et le volume à chauffer, tous équipés de thermostats pour les soufflants. Astuce : se renseigner auprès des structures de glamping qui utilisent des radiateurs efficaces et économes l'hiver...

     

    Utiliser un radiateur à gaz

    Le chauffage au gaz est une solution économique et très intéressante et peut convenir à tout types de volume. L’offre est en effet très complète et varie de 100 à 2000 € ! Une solution pour toutes les bourses et tous les besoins. Tous les radiateurs au gaz disposent également d’un thermostat et fonctionnent au propane comme au butane.

     

  • Techniques de jardinage : LE GREFFAGE

     

    Dans la série, jardin organisme vivant, après le marcottage, le greffage

    Si le greffage est très utilisé pour la multiplication des arbres fruitiers ou de certains arbustes, il l'est beaucoup moins pour les plantes d'appariement, à l'exception des Cactées. En effet, il n'est pas rare de voir chez les fleuristes des Cactus formés d'une tige verte terminée par une forme globuleuse et diversement colorée. Ces Cactus très étonnants et originaux sont obtenus par greffage.

    Cette méthode de multiplication demande beaucoup de soins, ce qui la rend peu courante d'utilisation.

    La technique consiste à effectuer une coupe nette sur un Cactus porte-greffe, généralement Cereus peruvianum, sur lequel on place un second Cactus, Notocactus par exemple. Afin d'éviter le dessèchement de ceux-ci, il est nécessaire de s'assurer que leurs diamètres sont à peu près identiques et de les maintenir à l'aide d'un élastique jusqu'à l'apparition du cal qui indique que la soudure est réussie.

     

  • jardinage : LE MARCOTTAGE AÉRIEN

    Dans notre série entretien des jardins, jardin organisme vivant, le marcottage

     

    Le marcottage aérien est surtout employé pour multiplier les Ficus, les Philodendron ou les Die ifenbachia qui émettent facilement des racines sur leurs tiges. Ce mode de multiplication présente deux avantages:

    • tout d'abord la plante sur laquelle on effectue la marcotte se trouve diminuée de hauteur et repoussera par conséquent plus touffue (principe du pincement) ;

    • ensuite, la marcotte elle-même aura tout de suite l'aspect d'une plante adulte.

    Cependant, cette méthode demande beaucoup de patience et de précision quant à la manière de procéder.

    Après avoir supprimé les feuilles gênantes à l'endroit choisi, enlever l'écorce avec un greffoir sur 1 ou 2 cm de hauteur. Cette entaille favorisera la formation d'un cal sur lequel se développeront les futures racines. Placer autour de la tige de la mousse des marais et recouvrir l'ensemble d'un film plastique fixé aux deux extrémités.

    Au bout de quelques mois, lorsque les racines se seront développées, couper au-dessous de celles-ci et rempoter la jeune plante dans un substrat de rempotage.

    II existe un autre mode de marcottage, qui consiste à incliner un rameau d'une plante dans un terreau léger et humide afin de provoquer la formation de nouvelles racines, qui lui permettront de croître de manière autonome après avoir été séparé de la plante mère.

     

  • La réalisation d’un jardin japonais traditionnel

     La réalisation d’un jardin japonais traditionnel est une expérience intéressante. Celui-ci est très tentant par son originalité et sa simplicité mâtinée d’authenticité. De plus, il s’adapte aussi bien dans un espace restreint voir semi-clos qu’en étant tout ou partie d’un jardin traditionnel de plus grande superficie.  Néanmoins il convient de ne pas agir à la légère. Nous vous proposons pour cela quelques conseils.

    Soyons francs dès à présent : ce serait une gageure que de vouloir imiter les jardins des temples de Kyoto. Néanmoins, ceux-ci peuvent comme beaucoup d’autres être une source d’inspiration fantastique.

      Voici donc quelques conseils de base.

      

    Infrastructures de base

     Tout d’abord, vous pouvez penser aux limites de votre jardin japonais. Ainsi, un grillage n’est pas du meilleur effet  l’inverse du paroi de bambou ou de bois. Les murs peuvent également être camouflés par des palissades, dont la hauteur variera en fonction dudit mur. Un site pour avoir une idée des différents types de clôtures (gaki).

     Il est également envisageable de mettre en place un bassin. Il peut s’agir d’un bassin d’ablution (tsukubai), traditionnel des jardins de thé (chaniwa), creusé dans une pierre près du sol. Ou bien encore d’un bassin plus grand, où vous pourrez faire vivre des carpeskoï par exemple. Voir nos conseils pour mettre en place un bassin.

     

    Implantations minéales

     Un autre élément indissociable du jardin japonais est la création de relief par de l’enrochement. Il n’est point de salut dans un jardin trop plat ! Les rochers doivent être placés en groupe impair, de manière à composer des triangles irréguliers. Ceci afin de d’allier « naturel » et esthétique. Pensez ensuite au gravier, qui peut être coloré (Jardin sec du temple Ryōan-ji).

     

    Implantations végétales

     Les plantations de végétaux sont tout aussi importantes, et suivent les mêmes règles d’ornement d‘imparité et d’irrégularité.
    Les plantes intéressantes peuvent par exemple être des cyprès du Japon, des pins (symbole de longévité), des bambous, des azalées, des lotus, des fougères et de la mousse (Jardin du temple Saihō-ji).

     

    Circulation et décoration

     Une fois les implantations végétales et minérales effectuées, il est temps de penser à la circulation au sein du jardin. Un pas japonais (tobi ishi) est traditionnellement utilisé, ainsi que diverses allées dallées. Les lanternes japonaises peuvent également accompagner votre jardin.

     

  • bricolage maison : comment faire un coffrage en plaque de plâtre

     

    Indroduction :

     

    Vous avez de la tuyauterie apparente ou un  élément à cacher ? Un coffrage sera la solution la plus appropriée.

     

    Un coffrage peut se faire avec de multiples matériaux. Le plus répandu est la plaque de plâtre.

     

    Préparation :

     

    La première chose à effectuer pour un coffrage est de bien prendre le temps de préparer la mise en place.

     

    Pour cela, sur chaque mur et horizontalement, tracez au crayon la longueur souhaitée à l’aide d’un niveau. Puis, faites un tracé vertical en vous aidant  d’un cordeau à tracé. Ces marquages seront utilisés comme guide au cours de la pose.

     

    Les plaques de plâtre ne se fixant pas à même le mur, une structure est impérative. Il en existe de différentes sortes. Les plus communes sont les rails pour plaque de plâtre et les tasseaux. Pour cette démonstration, nous utiliserons des tasseaux.

     

    Prédécoupez le tasseau de la longueur que vous souhaitez pour obtenir votre coffrage.

     

    Reportez la largeur de votre tasseau sur votre tracé vertical. Puis, décalez le tasseau et faites des repères qui seront très utiles pour que les perçages soient alignés.

     

    Pose :

     

    Vous pouvez commencer à percer au niveau de vos marquages et y placer des chevilles. Vissez au niveau de vos repères et faites sortir les vis de quelques millimètres.  Fixez au mur vos tasseaux.

     

    Faites de même sur l’autre mur.

     

    Coupez vos plaques de plâtre selon les longueurs et largeurs désirées. Avec un tasseau identique à ceux fixés au mur, assemblez les deux morceaux préalablement coupés.

     

    Pour fixer le tasseau, déposez une des deux pièces de plaque de plâtre sur deux tasseaux dont l’un n’est pas utile dans l’assemblage. Calez le tasseau. Puis, vissez  avec des vis spéciales plaque de plâtre, le tasseau et la pièce environ tous les 20 cm.

     

    Vissez l’autre morceau. Ce dernier doit venir se placer au bord de l’autre pièce de plaque de plâtre. Puis vissez en suivant le même parcours que la première pièce.

     

    Votre coffrage fait, fixez-le à la structure murale. Vissez toujours avec des vis spéciales plaque de plâtre.

     

    Le coffrage est définitivement fixé au mur.

     

    Finition :

     

    A l’aide d’un couteau à enduire, remplissez d’enduit-colle les espaces vides de chaque angle. Puis lissez.

     

    Afin que les jointures soient plus résistantes, posez dans chaque angle, entrant et sortant, une bande à plaque de plâtre préalablement trempée dans l’eau. Cela permettra une accroche directe.

     

    Pour finir, appliquez de nouveau de l’enduit colle pour sceller les bandes.

     

    Votre coffrage maintenant réalisé, il ne reste plus qu’à le poncer, le dépoussiérer, y appliquer un enduit et le recouvrir d’une sous couche.

     

    Bon à savoir :

     

    ·   Au moment de la pose, la longueur des vis doit être supérieure à la largeur du tasseau afin qu’il y ait une bonne prise dans le mur.

    ·  Si vous n’avez pas la possibilité d’effectuer une coupe à 45° pour  l’assemblage des plaques de plâtre, il vous est toujours possible de les fixer bord à bord. Mais pour cela, faites attention car les longueurs ne seront plus les mêmes. Déduisez sur une des longueurs l’épaisseur du matériau.

     

  • Bricolage maison : couper une plaque de plâtre

     

    Comment couper une plaque de plâtre

     

    Préparation :

     

    Pour la coupe  d’une plaque de plâtre, il existe plusieurs méthodes. Parmi les plus courantes, il y la coupe à la scie et celle au cutter. Source : cours-peinture-porcelaine

     

    Dans les deux cas, tracez votre coupe soit au crayon, soit au cordeau à tracé, un outil très utile pour tracer des lignes droites.

     

    La coupe au cutter :

     

    1. A l’aide d’un réglet ou d’une règle de maçon, coupez votre plaque de plâtre au cutter au niveau de votre tracé. Repasser plusieurs fois sur votre coupe si nécessaire.

     

    2. Placez un tasseau ou tout autre objet pouvant faire office de balancier, sous la plaque de plâtre.

     

    3. Donnez un léger à-coup, la plaque se fendra d’elle-même.

     

    La coupe à la scie :

     

    Scier la plaque de plâtre en suivant les règles générales du sciage.

     

    Bon à savoir :

     

    ·  Souffler régulièrement sur la coupe car la plaque de plâtre produit beaucoup de poussière.

    ·  Il est important de maintenir le morceau que l’on coupe. Car il risque de se casser ou de vous blesser en tombant.

     

  • Comment construire un mur en parpaings

     

    Comment poser une étagère murale

     

    Introduction :

     

    Poser une étagère n’est pas ce qu’il y a de plus dur. Néanmoins, il vaut mieux être rigoureux dans les étapes à suivre si vous ne voulez pas que votre étagère soit bancale.

     

    Mesures de sécurité :

     

    Avant de poser votre étagère au mur, vérifiez bien qu’aucune canalisation ou fil électrique ne passe derrière. Pour cela, un petit détecteur de métaux fera l’affaire.

     

    Instructions :

     

    Positionnez votre étagère à plat contre le mur. A l’aide d’un niveau, tracez un trait droit en vous aidant de votre étagère.

     

    Au mur, vous avez maintenant un trait représentant votre étagère. Marquez au crayon les endroits où vous désirez positionner vos consoles. La distance entre deux consoles varie selon le poids qu’elles supporteront. Au maximum, laissez un espace de 80cm.

     

    Positionnez donc vos consoles, et à l’aide d’un crayon posé au-dessus de la console, vérifiez l’emplacement. Afin qu’elles soient parfaitement droites, vous pouvez vérifier avec un niveau.

     

    Ceci fait, marquez au crayon les zones de perçage. Percez. Puis placez dans les trous des chevilles. Vous pouvez désormais visser les consoles au mur.

     

    Avant de poser l’étagère sur les consoles, vérifiez que la longueur des vis n’est pas supérieure à celle de l’étagère. Cela évitera de faire apparaitre la vis sur le dessus de l’étagère.

     

    Déposer l’étagère sur les consoles.

     

    Avec votre visseuse, vissez du côté inférieur de l’étagère, en maintenant par le dessus avec l’autre main. Sinon, il vous faudra une deuxième personne pour vous tenir l’étagère.

     

    Bon à savoir :

     

    La taille des chevilles et des vis varie selon le poids qui sera supporté. Plus le poids est lourd plus les chevilles et les vis seront longues et larges. Pour cela reportez-vous aux conseils d’utilisation de chacune.